Il/Elle vous ghoste… et les astres savent exactement pourquoi !

Vous pensiez que ça cliquait. Que les messages du soir allaient quelque part. Et puis, plus rien. Silence radio. Ce n’est pas votre faute. Mais les astres ont une explication bien plus profonde (et troublante) que vous ne l’imaginez.

Un ciel de déceptions… mais aussi de révélations

Le 1er août 2025, Vénus en Cancer se heurte sévèrement à Saturne puis à Neptune en Bélier. En langage clair ? Une immense vague d’hyper-sensibilité (Vénus en Cancer) entre en collision avec les murs du silence et les désillusions affectives (Saturne + Neptune). C’est l’aspect idéal pour… se faire ghoster. Ou pour ghoster les autres sans trop comprendre pourquoi.

Mais au lieu de s’effondrer ou de ressasser, et si on se servait de ce moment pour comprendre nos mécanismes d’attachement, de fuite ou de rejet ? L’astrologie ne donne pas des excuses. Elle donne des clés.

Et si le ghosting révélait vos failles… ou vos protections ?

Être ghosté.e, ce n’est pas seulement une question d’égo blessé. C’est souvent une confrontation brutale avec une peur ancienne : celle de ne pas être aimé.e, de ne pas être suffisant.e, ou d’être trop intense. Or justement, Vénus en Cancer exacerbe ce besoin d’être rassuré.e, contenu.e, choisi.e. Alors quand l’autre s’efface… le vide devient insupportable.

De l’autre côté, celui ou celle qui ghoste peut fuir une intensité affective trop forte, une peur de décevoir ou une incapacité à se connecter vraiment. Saturne ferme les portes, Neptune embrouille les intentions. On part sans dire au revoir, parce qu’on ne sait pas comment dire « je ne peux pas te donner ce que tu veux ».

Pourquoi vous (ou l’autre) ghostez selon votre signe

Bélier : Vous partez aussi vite que vous êtes arrivé.e. L’intensité vous attire, mais l’engagement vous étouffe. Ghoster est votre façon d’éviter la vulnérabilité.

Taureau : Quand vous êtes ghosté.e, c’est le monde qui s’écroule. Mais vous, vous ne ghostez jamais. Sauf si vous avez senti une trahison. Et là, c’est blocage total.

Gémeaux : Vous ghostez sans même le remarquer. L’intérêt est retombé, donc vous êtes ailleurs. Mais si on vous le fait, vous le prenez comme un affront à votre intelligence.

Cancer : C’est vous qui souffrez le plus du ghosting. Vous investissez vite, trop, et le vide laissé vous réactive une blessure d’abandon déchirante. Vous ghostez rarement, sauf quand vous êtes trop blessé.e pour vous expliquer.

Lion : On ne vous ghoste pas. Ou alors, il faut prévoir une reconquête épique de votre estime. Vous ghostez rarement, mais vous mettez parfois fin au contact de façon dramatique.

Vierge : Le ghosting vous rend fou/folle, car il n’a aucune logique. Vous ghostez par dégoût, quand l’autre ne « mérite plus » vos explications. Et si on vous le fait, vous cherchez à tout comprendre… puis vous fermez la porte.

Balance : Vous ghostez en douceur… en réduisant la fréquence. Vous disparaissez en diluant le lien. Mais vous vivez très mal de subir la même chose, car pour vous tout doit se terminer dans l’harmonie.

Scorpion : Vous ghostez rarement. Mais si on vous ghoste, c’est la guerre froide. Vous n’oubliez rien. Le silence est une trahison ultime. Vous pouvez aussi tester l’autre en disparaissant… juste pour voir s’il/elle revient.

Sagittaire : Vous ghostez avec le sourire. La connexion était belle, mais vous n’êtes plus là. Vous détestez qu’on vous enferme. En revanche, être ghosté vous touche plus que vous ne voulez l’admettre.

Capricorne : Vous n’aimez pas perdre votre temps. Si vous ghostez, c’est sec, net, sans appel. Si on vous ghoste, vous analysez froidement la situation… mais l’ego en prend un coup.

Verseau : Vous ghostez avec philosophie. L’autre comprendra. Vous vivez mal qu’on vous ghoste, mais vous préférez intellectualiser que ressentir. Et vous n’osez pas relancer.

Poissons : Vous vivez le ghosting comme une tragédie silencieuse. Mais vous pouvez aussi disparaître sans explication si vous avez peur de faire du mal. Vous confondez parfois empathie et fuite.

Et maintenant, on fait quoi ?

Ce n’est pas en récupérant l’autre qu’on se répare. C’est en regardant en face ce que ce silence active en nous. Le ciel du 2 août n’invite pas à relancer celui/celle qui ne répond plus. Il pousse à nous interroger sur notre besoin d’exister dans le regard de l’autre, sur notre tolérance à l’incertitude, sur ce qu’on attend vraiment d’une relation.

Et si ce ghosting était l’occasion de ne plus jamais mendier une présence ?

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