Avertissement : si vous pensiez que l’amour, c’était léger, fluide et sans drame… vous allez adorer détester Vénus en Scorpion. Ce transit, du 6 au 30 novembre 2025, transforme nos relations en laboratoires émotionnels. On y brûle, on y renaît, on y apprend à aimer avec tout — le corps, l’âme, et parfois même les cicatrices. Voici les 5 étapes par lesquelles vous allez forcément passer.
Le 6 novembre, quand Vénus plonge dans le Scorpion, on ne “flirte” plus, on hypnotise. Le charme devient une arme psychique, le désir un champ de force. Une rencontre anodine se transforme en électrocution émotionnelle. On ne sait pas ce qu’il ou elle a de si fascinant, mais on le ressent dans le ventre.
Sous cette Vénus-là, l’amour n’a plus rien de rationnel : c’est une pulsion de vie, un sortilège. L’attraction dépasse la logique, les conversations deviennent des confessions déguisées, et le regard de l’autre semble percer toutes nos défenses.
Mars forme en plus un sextile à Pluton ce même jour : ce qui veut dire que le désir devient un révélateur de puissance intérieure. L’univers nous pousse à aimer comme on agit — avec intensité, engagement, sans faux-semblant.
Vénus en Scorpion, c’est l’amour version plongée sous-marine : profond, étouffant parfois, mais impossible à quitter. L’autre devient notre oxygène. On veut tout savoir, tout comprendre, tout partager. Ce n’est plus un couple, c’est une expérience chimique.
Et si on ne vit pas une histoire, on la fantasme à outrance. Ce transit réveille le besoin viscéral de connexion : fusionner pour exister, aimer pour se sentir vivant. C’est beau, c’est intense, mais c’est aussi un peu dangereux pour l’ego.
Le Scorpion veut connaître la vérité émotionnelle de l’autre — et s’il ne la trouve pas, il la provoque. Les conversations deviennent des explorations, les silences des pièges à sentiments. Et au fond, c’est ça la magie scorpionesque : cette capacité à toucher le cœur de l’autre sans même le demander.
Quand Vénus visite le Scorpion, la passion s’accompagne toujours d’un petit démon : la possessivité. Pas forcément celle qui hurle, mais celle qui observe, analyse, anticipe, et finit par exploser à la moindre faille perçue.
Mais attention : le Scorpion ne fait pas de scènes ordinaires. Ses crises sont artistiques, presque chorégraphiées. Il ne se contente pas d’un message énervé — il écrit une tirade, poste une story subtile, déclenche un silence radio d’une précision millimétrée.
Le tout sous fond de Mars sextile Pluton : l’énergie du jour nous pousse à reprendre le pouvoir dans nos relations, à nous affirmer sans détruire. On comprend alors que la jalousie n’est pas une faiblesse, mais une peur de perdre l’intensité. Ce transit nous apprend à transformer la possession en passion lucide, et à mettre du feu là où on mettait du contrôle.
Vénus en Scorpion adore tester les limites. Et quand quelque chose ne vibre plus, elle fait ce que les autres redoutent : elle détruit. Pas par méchanceté, mais par instinct de vérité.
Sous ce ciel, on rompt, on coupe, on tranche. Ou alors, on reste, mais en acceptant de mourir à une ancienne version de soi. Les relations deviennent des miroirs de transformation. Ce n’est pas “toi contre moi”, c’est “nous contre nos ombres”.
Les Scorpion vous le diront : ce signe ne fuit pas les crises, il les embrasse. Parce qu’il sait qu’après chaque chute, il renaît plus fort. Et cette renaissance-là, c’est précisément ce que Vénus veut nous enseigner.
Si une relation s’effondre en ce moment, c’est qu’elle devait muter. Le sextile Mars-Pluton offre d’ailleurs une énergie incroyable pour reprendre le pouvoir sur sa vie affective : on arrête de subir, on décide d’agir. Quitte à brûler quelques ponts — mais au moins, ce sera lumineux.
Après la tempête, place à la révélation.
Quand Vénus en Scorpion a fini de brûler tout ce qui n’était pas authentique, elle récompense ceux qui ont osé plonger. Ce n’est plus l’amour adolescent ni la fusion aveugle : c’est la passion consciente, celle qui guérit au lieu de blesser.
Les couples renaissent différemment : plus vrais, plus solides, débarrassés des faux-semblants. Les célibataires, eux, se découvrent un magnétisme nouveau, une confiance charnelle, presque mystique. Ce n’est plus le besoin d’être aimé, mais le plaisir d’aimer avec lucidité.
Ce transit nous enseigne la plus grande leçon du Scorpion : on ne perd jamais rien, on se transforme. Et même les blessures deviennent des portes vers plus d’amour.
Le 6 novembre est un jour charnière.
D’un côté, Vénus descend dans les profondeurs du Scorpion, déclenchant des émotions puissantes et des désirs qui dérangent parfois. De l’autre, Mars en Sagittaire en sextile à Pluton donne la force de diriger cette intensité vers la construction.
C’est le moment idéal pour :
• oser une conversation de vérité, même si elle fait peur ;
• transformer une passion destructrice en moteur créatif ;
• affirmer ce qu’on veut vraiment dans une relation, sans culpabilité ;
• investir son énergie dans des projets qui nous animent vraiment.
En clair : les astres nous disent de cesser de fuir ce qui brûle en nous, et d’apprendre à en faire une lumière.
Vénus en Scorpion, ce n’est pas le roman à l’eau de rose : c’est le chapitre qu’on relit quand on veut comprendre pourquoi on aime. C’est l’amour comme initiation, la jalousie comme miroir, le désir comme boussole.
Alors oui, ce transit peut remuer, troubler, faire éclater quelques vérités. Mais il offre surtout une chance unique : celle de renaître à travers l’amour.
Et quand Vénus quittera le Scorpion le 30 novembre pour entrer en Sagittaire, vous saurez exactement ce que vous valez — et ce que vous ne donnerez plus jamais à moitié.
Parce que le vrai luxe, en astrologie comme en amour, c’est d’aimer sans masque et sans peur.
Souhaitez-tu que je t’en fasse maintenant la traduction fluide en anglais américain, comme pour les articles précédents ?